médiation artistique & art thérapie

L’atelier de médiation artistique en danse et trapèze fixe « Imagin’Air » a été crée en 2009. Différentes actions ont été menées: l’Esat les Turbulents (Paris), ville de Château-Thierry (Aisne), l’association ACSV (ardèche), l’association La Source (normandie), l’éducation nationale (Trappes, Paris), Cie Ophélie (Tours), la MAS l’oustaou (Nice), l’association EDTSE (var) …

Dansant avec les ballants, les équilibres, les suspensions, les points de contact réduits, le sol… les participants abordent l’art du trapèze fixe de manière ludique et technique en toute sécurité. Un cocon en tissu est parfois utilisé. L’accompagnement est adapté et personnalisé. Les trapèzes sont accessibles du sol. Un instrumentarium permet d’expérimenter divers univers sonores. L’écriture s’invite parfois dans le processus de création.

Cet atelier avec ou sans trapèze, sensibilise la prise de conscience corporelle et favorise la confiance en soi. Il permet de découvrir de nouveaux repères et d’apprivoiser ses appréhensions. Cette pratique poétique du trapèze fixe vise à exprimer sa singularité, à développer l’imaginaire et la créativité.

Il s’adresse à tous: particuliers (professionnels ou amateurs),  aux familles (pour découvrir une autre facette de soi et des autres), aux structures institutionnelles (en lien avec les équipes et le projet de l’institution), aux entreprises (sous forme de cadeaux ou dans le but de remettre en jeu des problématiques liées à l’entreprise)

Pour toutes les questions concernant la technique (accroche des agrès…), le planning, ainsi que les tarifs, me contacter.

« Un médiateur artistique est un artiste sachant accompagner une personne de telle sorte que celle-ci traite ses difficultés à travers les difficultés rencontrées dans la création artistique » et « l’art-thérapeute est un accompagnateur de symbolisation sachant favoriser les projections de la personne et capable de repérer et de faire évoluer la configuration transférentielle à travers ce qui s’en joue dans la production même ». Jean-Pierre Klein